Volume 1, no 2
L’altruisme, le désir d’aider, le besoin de se rendre utile, d’apporter du réconfort aux autres sont les motivations de départ qui amènent les intervenants à s’engager dans ce métier sensé faire le bien.
Mais la réalité actuelle ne fournit pas les moyens d’exercer son métier convenablement dans le respect des personnes.
Cette insatisfaction et cette perte de sens du travail d’intervention sont accentuées par la solitude dans laquelle nous nous replions.
Quelles solutions mettre en place pour se prémunir personnellement et collectivement contre ce malaise qui atteint notre moral et nos vies ?
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